C'est une question que je me pose depuis quelques temps : comment représenter les différentes manières de percevoir le monde ? Les sens diffèrent d'une espèce à l'autre, mais comment se rendre compte de ces différences ? Comme l'humain pourrait-il se mettre à la place du non-humain pour s'imaginer vivre autrement ?
Allez, un billet doux de nouvelle année 2021, avec une petite question à la clef : comment partager sa fibre verte dans un monde où la réalité dépasse la fiction ? L’heure des contes a-t-elle vraiment sonné ?
Il y a dix jours, je me suis aventurée seule en forêt. C'était la première fois. Et j'avoue que cela marque une étape dans mon cheminement, tant ce n'est pas chose facile pour moi. De quoi réfléchir à nos peurs de la nature...
A force d'enquêter sur notre lien au vivant, j'ai eu envie il y a 15 jours de remonter le fil de nos natures profondes. Pour comprendre ces lignes de vie, j'avais besoin de plonger dans l'histoire naturelle et de grimper dans l'arbre du vivant, dit phylogénétique...
La loi nous permet-elle de condamner les dommages graves, durables ou étendus à l’environnement ? Prend-elle en compte les limites planétaire ? Car il s'agit là de ce qu'entend défendre le crime d'écocide, une notion qui a fait parler d'elle ces derniers jours... Eclairages.
Le fait de nettoyer un jardin, de jeter des ressources végétales ou de croire que nous devons aider les arbres à pousser font partie de certaines idées reçues qui ont la vie dure...
Alors que la Covid-19 nous soumet à sa deuxième vague et que nous sommes reconfinés pour les semaines à venir, pourquoi ne pas s'inspirer du monde vivant pour mieux traverser cette période ?
Qui n'a pas déjà entendu cette question, au sujet d'une petite bestiole incommodante par exemple ? Car cette interrogation, en elle-même, est déjà problématique quand on essaye de parler du vivant.