L’humain, le non-humain, et 50 nuances de sens ?

C'est une question que je me pose depuis quelques temps : comment représenter les différentes manières de percevoir le monde ? Les sens diffèrent d'une espèce à l'autre, mais comment se rendre compte de ces différences ? Comme l'humain pourrait-il se mettre à la place du non-humain pour s'imaginer vivre autrement ?

Le jour où j’ai pris la vie avec phylogénie…

A force d'enquêter sur notre lien au vivant, j'ai eu envie il y a 15 jours de remonter le fil de nos natures profondes. Pour comprendre ces lignes de vie, j'avais besoin de plonger dans l'histoire naturelle et de grimper dans l'arbre du vivant, dit phylogénétique...

Y a-t-il vraiment des mauvaises herbes et des déchets verts ?

Le fait de nettoyer un jardin, de jeter des ressources végétales ou de croire que nous devons aider les arbres à pousser font partie de certaines idées reçues qui ont la vie dure...

« A quoi ça sert ? » n’est pas la bonne question

Qui n'a pas déjà entendu cette question, au sujet d'une petite bestiole incommodante par exemple ? Car cette interrogation, en elle-même, est déjà problématique quand on essaye de parler du vivant.

Intuition ou sixième sens ?

Comment les animaux peuvent-ils anticiper les catastrophes naturelles ou se repérer sans boussole ? De quel sens sont-ils dotés pour effectuer ce qui pour nous relève de la prouesse ? S'agit-il d'intuition ou de prémonition ?